Comment protéger les NFT ou les actifs numériques

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Les NFT ou les actifs qui se trouvent dans l’environnement numérique et qui peuvent être une pièce créative, qu’il s’agisse d’une chanson, d’une image, d’une œuvre d’art, entre autres, sont le moteur de l’économie dans l’écosystème numérique.

La technologie continue de faire partie de la vie quotidienne de l’humanité sur Terre, et elle supplante de plus en plus le rôle joué par les êtres humains. Cependant, il est indéniable qu’à bien des égards, ce progrès a facilité la vie des gens. La preuve en est le mélange post-pandémique de la façon dont nous travaillons et de l’avenir dans lequel nous vivons.

Au cours des 20 dernières années, l’expansion technologique a été énorme. Dans l’indice boursier des plus grandes entreprises des États-Unis, connu sous le nom de S&P 500, le secteur des technologies et des communications représente 40 % des entreprises. En France, les plus grandes entreprises sont traditionnelles, mais nous estimons que dans les 5 prochaines années, les startups vont commencer à s’imposer.

En matière de technologie, on voit apparaître les fameux NFT (Non-Fungible Tokens), qui sont des actifs dans l’environnement numérique qui peuvent être une pièce créative, que ce soit une chanson, une image, une œuvre d’art, entre autres.

Tout comme dans le monde réel on protège une propriété, une chanson ou un brevet, « dans le monde virtuel, les NFT cherchent à donner une certification à leurs propriétaires, afin que d’autres personnes puissent les reproduire ou les utiliser ».

Le problème des NFT « est qu’ils sont encore plus gazeux que les crypto-monnaies. Des recherches récentes ont révélé ce problème. Et la plupart des NFT produites sont réalisées par une intelligence artificielle, donc elles ne sont pas réelles et leurs résultats ne le sont pas non plus. »

Étant dans l’écosystème numérique, il peut être quelque peu complexe de les protéger. Toutefois, pour résoudre cette question qui peut susciter un certain malaise, le fait qu' »une œuvre de création soit disponible sur Internet ne signifie pas que son utilisation est autorisée. Les œuvres numériques (ou physiques) doivent être protégées par des enregistrements officiels ou des horodatages numériques, voire des enregistrements avec la technologie blockchain.

« Le NFT n’est rien d’autre qu’un certificat qui authentifie que nous possédons telle ou telle œuvre. Mais cela ne signifie pas nécessairement que nous sommes les auteurs ou les propriétaires de cette création« , c’est pourquoi on insiste sur l’enregistrement de ces créations.

De plus, comme leur nom l’indique, il s’agit de jetons numériques ; « des actifs cryptés créés à l’aide de la technologie susmentionnée qui nous permettent de prouver que nous avons acquis un bien ou un service ».

« Il y a une liberté totale de commerce dans le Metaverse et nous pouvons établir combien nous voulons que nos utilisateurs paient pour accéder, acquérir un bien matériel ou immatériel, etc. Bien entendu, nous devons être clairs sur le prix que nos utilisateurs sont prêts à payer pour ces NFT.

D’autre part, dans le monde des jeux, EntreLeo Elduayén, PDG de Koibanx, explique qu’ils ont réussi à créer un scénario où les utilisateurs reçoivent des récompenses telles qu’un jeton, qui est créé par le développeur d’un jeu.

Par conséquent, ce type de jeu vidéo fait des joueurs les seuls propriétaires de leurs personnages ainsi que de tous les objets de valeur qu’ils ont avec eux et, par conséquent, chaque personnage du jeu est un NFT, connecté à une blockchain, qui représente un actif unique et valide avec une validité parfaite pour effectuer une transaction commerciale avec lui.